Mardi 22 janvier
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17:59
Je l'ai prise en levrette et lui caressait toujours
le cul (les doigts calment le feu automatiquement en atendant plus gros engin). Pendant que je la prenais dans une chatte archi-mouillée (tu imagines) de son propre chef, elle m'écartait ses deux
petites fesses. Trop pudique pour me demander de l'enculer, elle me montrait la voie de son cul en combustion qui n'attendait qu'une bonne bite pour la soulager. Quand j'ai présenté la queue à son
anus c'est à peine si elle reculait pas elle-même pour se l'enfoncer jusqu'aux amydalles. Je maitrisais et je l'enculais petit à petit. Elle ondulait du bassin, l'aphrodisiaque était à son apogée
et j'ai décidé de la prendre sauvagement. Tout son corps en folie me réclamait. A chaque coup de queue, elle gueulait et acompagnait chaque coup de reins par des petits cris fabuleux. Je lui
crochetais les hanches et j'ai pensé à toutes les insultes que tu m'avait écrite. J'ai préféré prendre ses cheveux violemment avec mes deux mains et lui tirer trés fort la tête en arriére, je
faisais attention à son cou mais je ne la ménageais pas du tout. Je pensais à tes ordres et à ne pas lui faire que du bien. Je l'enculait furieusement en marquant qqs pauses pour ne pas venir trop
vite et quand je reprenais je pensais à toi et je lui tirait trés fort ses cheveux. Je remontais le long de sa criniére et soulevait sa tête à lui faire mal. Elle hurlait, ej ne sais à cause de
quoi précisemment, mais je crois à cause de tout ! La salope, quand je lui ai relaché la chevelure, s'est mise de côté pur me pincer une fesse puis me griffer trés fort, tellement que plus tard
elle se confondra en excuses de m'avoir fait 3 marques profondes et rouge sang !!! Un moment je l'ai fait pivoter sur le lit et elle mettait ses doigts enroulés autour de ma queue pour bien la
serrer et qu'elle aille plus fort encore dans son cul. C'est fou comme le sexe rend escalve et dement, faut le vivre ! Je l'ai enculé, trombiné violement et quand approche le feu d'artifice je
l'accompagnais dans ses beuglements, la queue me piquait aussi et c'était délicieux. C'est quand on a joui qu'elle m'a griffé violement pendant que je battais on cul de grands coups de claques et
accrochait une hanche de l'autre main ! Un vrai rodéo de foutre. Elle hurlait atrocement tant elle cramait dedans et tant elle jouissais dehors. pantin désarticulait et trop fatiguée, elle
valdinguait sans resistance à mes coups appuyés et à la fin je lui ai détruit le cul en la mitraillant. On hurlait de plaisir tous les deux !!! J'ai arrosé son cul de jets de foutre
invraisemblables. Qu'est-ce que c'était bon ! Putain quand on s'aime ma chérie c'est encore tellement mieux et ça grave pour l'eternité ! Quand j'ai retiré ma queue il y avait de
l'aphrodisiaque autour et son trou duc restait encore un peu ouvert. Je me suis affalé dans la mousse de son lit. Elle est venu se coller à moi. Je savais qu'elle chauffait encore un peu mais le
reservoire de ma queue etait vidée, fallait attendre un peu encore. Alors je lui ai fait recroquveillé son corps contre moi et j'ai glissé simplement mes doigts sur son trou du cul, la paume sur
son sexe, soulagement immédiat et bonheur aussi dans ses soupirs. Elle a mis sa tête contre mon épaule et passait un bras autour de moi avec beaucoup de grace. Je lui massais l'anus tout en douceur
pour un atterissage tout doux, je l'entendais qui soufflait dans mon oreille avec délice et décontractant ses chairs, les premiéres gouttes de sperme dégoulinaient sur mes doigts caressant son
anus. Pas aussi violent que tout à l'heure mais continuait de prendre son pied. Elle m'a glissé à l'oreille "c'est chaud mais qu'est-ce que c'est bon putain !!!" et j'ai compris qu'elle avait plus
aimé que je le croyais. Elle a même essuyé une petite larme. On a discuté de tout et de rien et m'a tellement encensé un moment que j'ai compris que ces petits yeux de desirs à table étaient
aussi des petits yeux de l'amour, merde ! Je ne lui ai rien dit de spécial, je crois qu'elle comprend mais se fait des idées de peur d'être déçu. Elle ignore que les petits yeux de l'amour, je veux
les tiens.
Par kipik
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Publié dans : Stéphanie 2007
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