Petit trou du cul, chatte rasée, tu crois t'en tirer à bon compte ?
Dire que tu connais pas le
kipik et peut-être même les plaisirs des lavements....
T'es qu'une pucelle, les trios tu connais mais tu connais pas l'essentiel à deux. Celle de n'être qu'une salope lascive qui ne contrôle plus rien. Oui, ça te fera du bien un bon mec dans ton lit, mais tu ne veux pas que ça.
De me torcher l'anus de la langue, de m'avaler entiérement la bite et du jus de pisse de mes couilles, tu seras repu. Mais ton cul, je vais le percer et je vais t'enflammer les parois anales. Tu connais rien. Du plaisir de retenir de simples litres d'eau à l'intérieur et les nerfs qui te font jouir quand tu relâcheras le tout. Et tu relâcheras seulement quand mes doigts posés sur ton trou du cul te diront de relâcher. Ta soumission n'en sera que plus belle et ton plaisir porté aux nues, et tu n'auras rien vu salope !
Par une canule achetée dans le premier sex-shop, te remplir de produits jouissifs achetés dans de vulgaires sex-shops. Que Tu connais tellement par ailleurs... Et ne pense rien contrôler. De god, de bite, de kipik, de pisse tu seras remplie et tu jouiras de cette expérience inédite. Tu seras chienne, mendiant ton plaisir et tes douleurs au maître-sado qui te posséde. Aprés ça, même un fétu de paille aurait du mal à rentrer dans ton trou de balle, pourtant taillé pour les doubles-expertises à grands coups de piston. Les coups de piston, c'est moi qui te les donnerai et tu réclameras "encore... encooooore !!!" en même temps que tu n'en puisses plus. Tu retrouveras ton trou de cul de vierge.
(photo de mon cru - dessous rouges vifs, attachée au vulgaire scotch et bourrée de kipik !)
Le blog le plus cul, le blog le plus limite, le blog ultime sur la domination et la sodo.
Comme il est beau ton avilissement et tes yeux brillants quand je t'embrasse et
ta peau douce sous mes doigts.
Ton corps attaché qui s'ébroue d'excitation, de froid et de frayeur.
Je vais t'insuffler un trésor de lait et de matières plus urticantes par le trou de tes fesses. Tout te sortir des matières molles du rectum. Dussé-je en suer à mort !
Et m’y reprendre à plusieurs reprises : il ne restera rien ! Je veux le faire grimacer ton trou du cul, et toi gémir puis crier ta
déchéance.
Entre nous ce jeu mortel où l'on ne meurt que de plaisirs et d'extase. Entre nous ma chérie, la braise à l'anus te fait si bien te dandiner que je crève d'impatience de te trouer la chatte délicieuse et gluante. Oh oui ! Je t'aime à te dévaster !