Ce couple cadre sup’ parisien, descendant sur Bordeaux. Chacun son metre 80 et sa trentaine au compteur. Elle débutante, charmante ; lui souriant et chauve.

Elle suffisante, un sourire en coin. En minijupe comme demandé semblait me défier de par ses talons hauts. Avant de s’engouffrer dans la voiture j’ai exigé d’elle (et très rapidement) son string. Surprise et gênée et sous les yeux des passants du parking souterrain elle s’est exécuté. Lui sans broncher, était là pour ça. Frémir et jouir avec elle.

Je n’ai plus vu de sourire jusqu’à l’hotel. 

Elle venait de prendre ma température et je n’étais pas d’une humeur badine ce matin là ! Elle en a mangé plein son cul. Elle a hurlé et son mari a bien participé. Les jouissances furent phénoménales. l’hôtel en a tremblé. Aux multiples « merci » se sont succédés nos adieux. Les bonnes choses ont une faim.

Qu’est-ce que le kipik ?

Un aphrodisiaque anale quasi inconnu en Europe. Un transformateur, un laxatif dissipateur, un monstre de plaisir d’enculée. Une étoile trou de balle, délicieuse et dévastatrice. Un ravageur orgasme anal au final, sans frein, sans fond, sans fin.

Le kipik est né au japon. En flacons de toutes les couleurs selon l'intensité. L'original est red red red. Puis il est arrivé dans les milieux du X américain (avant nombreuses sodomies à répétition et pour accroître le plaisir sans le feindre, certaines actrices et acteurs gay tout particulièrement (sic) s’introduisent le kipik (celui-ci est translucide, pour la dose la plus douce, on le prend facilement pour un lubrifiant))  et mieux, il se trouve même dans quelques sex shops overseas !!! Mais en France il est introuvable. 


C’est un secret dont je révèle ici l’essence et ne touchera que l’imagination du lecteur. 

Le kipik, ne s’appelle pas kipik, vous ne le trouverez pas sur le web ou ailleurs.

découverte 

Ce blog a pour but une Décou-verte.

Tout ce qui est en éclosion est vert.

Pourtant les couleurs ici seront : 
rouge comme le kipik, 
bleue comme la soumission sans frein, 
marron comme de la merde, 
indigo comme la jouissance absolue.